On observe de plus en plu dans nos sociétés française un accroissement du taux de violence chez les jeunes. En effet, la violence n’est pas une réalité homogène que ce soit dans ses formes que dans ses significations. Elle peut être physique ou verbale. Et chaque violence se définit en fonctions des interprétations spécifiques et apportent des réponses spécifiques. Mais une réalité est certaine, quelque soit sa forme matérialisée ou symbolique, elle s’accentue dans nos sociétés.
Si on admet comme Hobbes, Freud et Durkheim de la violence comme conduite naturelle, on pourrait tout de suite dire que tout le monde a un peu de violence en lui. En effet, chez nos jeunes aujourd’hui c’est devenu une routine d s’arrimer ou de participer à des bagarres pour démontrer de sa force ou de tenir des propos injurieux envers leur éducateurs ou bien même leur parents. Beaucoup diront que tout cela a toujours existé et nous en répondront certainement par l’affirmative. Mais pas à cette ampleur. Ceci peut être du au manque d’amour ou bien même d’éducation. Les parents aujourd’hui ne remplissent fermement leur devoir envers leurs enfants. Et certains enfants développent cette activité de violence pour exprimer leur solitude ou leur manque d’attention. L’affection, la communication, l’éducation, sont les trois variables qui fondent la stabilité d’un individu en général et d’un parent en particulier. Tout cela participe de sa stabilité. Les nouvelles technologies ne justifient pas la violence des enfants mais le repli sur eux même et leur empêchent de s’exprimer valablement et librement avec leurs parents.